Blog culinaire d'une passionnée
La cuisine française est reconnue comme UNE des ou la cuisine la fine, créative du monde. Comment ne pas proposer des recettes de la cuisine française, lorsqu’on prépare une recette typiquement française, on ne sait pas toujours toute l’Histoire qui se cache derrière.
Personnellement, j’aime forcément beaucoup cuisiner des plats français même si comme je le dis souvent et comme cela se voit dans mon blog la Ch’tite Toque, j’ai un goût immodéré pour la cuisine asiatique, dont j’adore les saveurs (le côté Umami). Il est difficile de faire sans plats bien de chez nous au quotidien : le Hachi parmentier, le steack haché frites, le filet mignon ou les tournedos de bœuf et son gratin dauphinois.
La cuisine française est avant tout une cuisine de qualité. Pour sublimer ses plats, la meilleure option reste selon moi d’utiliser des ingrédients frais et de saison, issus de producteurs locaux et souvent biologiques. Il faut dire qu’en France, nous bénéficions d’une agriculture française et d’un secteur agroalimentaire très productifs et de grande qualité (viande française, maraichers,…). Elle repose sur l’agriculture française et le secteur agroalimentaire, parmi les plus puissantes dans le monde.
Notre chère cuisine française est basée sur des ingrédients classiques basés sur de nombreux légumes tels que les pommes de terre (encore plus vrai pour la cuisine Ch’ti, cuisine du Nord, que je vous propose aussi dans mon blog), courgettes, carottes, poireaux, artichauts et – ainsi qu’aux protéines comme le bœuf, le porc, le poulet, le canard et le poisson. Les produits laitiers comme la crème et le beurre sont également largement utilisés pour ajouter de la saveur et de la texture, c’est notamment une signature des restaurants gastronomiques.
La cuisine française se définit aussi, selon moi, par l’usage de nobreuses herbes aromatiques (la fameuse herbe de Provence, thym, laurier, persil etc). Personnellement, c’est un des points que j’apprécie le plus : pouvoir utiliser de nombreuses herbes dans les plats comme lorsque je cuisine un navarin d’agneau.
La France au travers de sa cuisine est aussi à l’origine de nombreuses techniques maintenant séculaires, qui ont influencé la Cuisine de manière générale : le braisage (mijotage lent des viandes), le rôtissage (pas besoin d’explications), le pochage (immersion de l’aliment dans un liquide bouillant jusqu’à ce qu’il soit bien cuit) etc. Par extension, nous sommes à l’origine de nombreuses inventions d’ustensiles ou outils associés à la gastronomie et la cuisine en général.
La présentation des plats est tout aussi importante que leur saveur. Les Français accordent une grande attention à la mise en scène de leurs assiettes. On aime et je ne suis pas la dernière, créer des compositions esthétiques et équilibrées. Et bien sûr, en règle générale, les plats s’accompagnent d’un bon verre de vin.
La patrimoine gastronomique regorge de recettes emblématiques que pour une bonne part, je réalise. J’essaierais de partager mes recettes favorites au fur et à mesure.
Et pour les desserts, la gastronomie française n’est pas en reste, dans les TRES grands classiques :
Il m'arrive très souvent de "pimper les recettes Quitoque" mais quand j'ai une recette de grand chef, je ne m'autorise pas à la revisiter. J'ai suivi à la lettre les consignes de la recette qu'il faut l'avouer contient un peu plus de préparations et de complexités que les recettes Quitoque habituelles. Cela m'a notamment donné l'occasion de réaliser mon propre riz pilaf. C'est un accompagnement que je ne fais jamais étonnement.
J'ai rajouté des croutons pour avoir du croustillant car mise à part les noix, il n'y avait rien de consistant au niveau de la mâche. Et le croutons apportent ce besoin de croquer.
On a la chance d'avoir une cueillette de fruits et légumes frais tout près de chez nous (#cueillettecergy). L'envie de faire cette recette pour le repas du soir chez nos amis m'est venue en cueillant de savoureuses fraises le samedi matin, avec les enfants. L'idée était de mettre à l'honneur ces produits frais.
Par la même occasion, j'ai des feuilles de menthe fraiches qui poussent à foison dans mes massifs dans le jardin. C'était l'occasion d'en rajouter au dessus pour twister la recette.
Quoi qui l'en soit, cette recette de "pâtisserie" s'adapte à votre envie et aux saisons que ce soit au niveau des fruits à utiliser, du format de la Pavlova. Je vous présente ce dessert au format individuel mais on peut aussi faire des pavlovas en format gâteau. Une par personne c'est assez généreux. Il faut plutôt bien aimer le sucre.
Vous pouvez doser la quantité de chantilly comme bon vous semble suivant votre degré de gourmandise.
Pour cette recette Quitoque, j'ai changé pas mal de choses. Pour les boulettes, j'ai préféré les faire cuire dans une sauteuse car ainsi elles sont moins sèches.
J'ai aussi changé les légumes d'accompagnement. Le jour où j'ai fait cette recette, je voulais des légumes plus printaniers et pas des légumes d'hiver comme le chou rave. Et puis, je savais que j'avais plus de chance de faire manger ce type de légumes à mes enfants. Quand ma famille ne connait pas une saveur, je préfère l'accompagner de repères comme des légumes qu'ils apprécient particulièrement.
J’avais déjà tenté la recette proposée par Quitoque, il y a quelques années mais elle était légèrement différente et à vrai dire à l’époque, elle ne m’avait pas totalement plu. Je n’ai plus la recette initiale mais elle a dû être assez nettement revue. De mon côté, fidèle à mes habitudes, au niveau de la recette, j’ai changé comme systématiquement la cuisson de la viande. Je ne l’ai pas fait cuire dans le bouillon directement, je l’ai déjà fait revenir afin de lui donner plus de goût et une légère coloration. Cela apporte en plus des sucs de cuisson.
En plus, j'ai rajouté quelques pommes de terre à l’eau à côté, pour ceux qui en voulaient, que ce soit un petit peu plus nourrissant et que cela rappelle plus le Ch'Nord ! Un bon plat Ch'ti ne peut se concevoir sans "patates".
Cette recette est sans fioriture comme vous allez voir mais parfois c'est lorsque l'on fait simple que c'est le meilleur !
La base de la recette des croque gaufres salées est est assez classique, comme vous le constaterez au niveau des ingrédients. Pour 8 personnes (si chacun n'en mange qu'une ! ce qui n'est pas le cas pour les gourmands !), il faut en prévoir au moins 16. Car ce sont 2 gaufres que vous allez superposer et remplir avec les ingrédients de vos choix. L'intérêt de la recette est de faire comme une partie crêpes. Chacun peut mettre les ingrédients, qu'il souhaite. Personnellement, dans la mienne, j'y mets du parmesan, du cheddar, du jambon, du pesto et des tomates. Libre à vous d'y mettre du comté ou du gruyère râpé, de la tomme ou toute autre fromage.
N’hésitez pas en mettre plus au moins en fonction de vos goûts, au niveau des quantités.
Ce plat est idéal en toute saison mais il est vrai que le poireau est plus un plat d'automne et d'hiver.
Pour cette fois, j’ai testé une déclinaison en parallèle de la version crumble de saumon poireaux, avec des courgettes (coupées en rondelles) en lieu et place des poireaux, vu que ma petite n’est pas du tout fan de poireaux. Sur le papier, il me semblait que cela pouvait aussi fonctionner.
Pour rendre le plat de crumble au saumon poireaux plus diététique, vous pouvez mettre moins de beurre et pour plus de gourmandise, vous pourrez mettre du beurre salé.
Pour alléger, vous pouvez mettre une crème fraîche plus allégée (pas de la 30% mais de la 15%), vous obtiendrez un plat assez diététique surtout si vous ré-adaptez le crumble. A noter que ce plat marche aussi bien avec de la truite, la truite est assez proche gustativement du saumon.
Comme je le disais la recette est très simple. Idéalement, prenez de vraies pommes de terre spéciales gratin. Au pire, vous pouvez prendre des pommes de terre amandine. Pour la crème, je vous suggère de la crème fraiche entière liquide. Personnellement, j’achète toujours cette crème sous forme d’une brique d’un litre. Ensuite, le dosage est globalement à l’œil, je fais beaucoup à l’instinct. Je mets 1 litre de crème pour un 2 kg de pommes de terre. Je suis désolé les ingrédients et quantités proposées ci-dessous sont un peu industrielles car c'est typiquement un plat que j'ai du mal à doser et réaliser en petites quantités. Je suis donc parti sur une base assez élevée.
Par rapport à la recette initiale Quitoque, j’ai pris le parti de rajouter des carottes, parce que pour moi une blanquette se cuisine forcément avec des carottes. J’en ai donc rajouté trois. Cela m’a permis d’avoir encore plus de légumes. Je n’ai pas suivi l’ordre de la recette. Concrètement, j’ai commencé par faire revenir les oignons avec le céleri. Puis, j’ai mis les crevettes pour les faire dorer leur donner du goût. Les sucs de cuisson des crevettes donnent plus de saveur à la sauce.
Cette recette de cordon vert à la tomme est plus technique et longue à réaliser que les recettes habituellement choisies dans mes paniers repas. Vous pouvez en juger en lisant les instructions et le nombre d’ingrédients. Mais cela vaut le coup, car la recette est aussi belle que bonne.
Hier, j'ai cuisiné une recette qui m'a laissée sur les bras 5 blancs d’œuf. Pour ne pas gaspiller, je vous propose une recette qui fait toujours plaisir aux gourmands.
